Happyness
Aujourd’hui je suis venu avec un groupe qui vient de Londres. C’est une vraie découverte puisqu’ils n’ont jamais joué en France, que leur tout premier EP est sorti le 6 janvier à seulement 500 copies et que le plus écouté de leur titre a été entendu moins de 4000 fois sur internet. Ils s’appellent Happyness, bonheur, et viennent de Londres.
En fait je les avais découvert il y a quelques années sous un autre nom, les Wild Mercury Sound et après le départ d’un des membres, Jonny, Benji et Ashley ont se sont remis à un nouveau projet musical très pop mais beaucoup plus lumineux. Pour le moment il n’y a que quatre titres disponibles sur internet, sur soundcloud.com/happyness-4 plus précisément si ça vous a plu.
C’est 4 ballades où t’as envie de te promener sur la plage, tu sais le genre de plage avec l’océan bleu à côté, le sable chaud et jaune sous les miens, les filles avec des jolis seins cachés par des petits bikinis et les garçons torses nus avec un bermuda que t’as l’impression que y’avait un videur à l’entrée. Musicalement, c’est assez très brut, très lo-fi et épuré, uniquement basé sur une guitare, une basse et une batterie. Ca rappelle un peu Wilco pour les plus pointus d’entre les oreilles qui nous écoutent.
En tout cas ça change totalement de ce que je t’ai amené les semaines passés, souvent un peu éthéré et aérien pour reprendre les mots que je déteste.
Avec Happyness, rien à voir, on est là pour être heureux, on se fait plaisir, on sourit, on se promène tranquillement, si possible à deux et on attend avec impatience l’été…
Chronique diffusée sur Virgin Radio le 2 mars 2014
Catégorie : (re)Découvertes
Artiste(s) : Happyness
Production(s) : Virgin Radio
[…] Le Transistor n’a pu attraper que le dernier morceau du set (mot d’excuse à demander à Mr Brossard qui présentait la programmation des Trans Musicales 2015 au Truskel), mais ce final porteur nous a bien donné envie d’écouter le reste de leurs compositions. D’autant plus que la radio KEXP à la programmation de qualité leur a consacré un live. Lire la chronique de Happyness […]
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