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Comme d’hab. Pas ordre décroissant d’intérêt toussa…
es prods dubstep et des mélodies world, des voix de musiques indiennes, des instruments des balkans. Magnifique bordel.
C’est marrant parceque j’ai jamais deux fois le même avis sur Andrew Bird. Dès fois je trouve ça chiant, pète couilles et mou et des fois je trouve ça fantastiquement beau et émouvant. A la troisième écoute de Break it yourself, j’en ai conclu que c’était un album saisonnier pas fait pour n’importe quel jour. Si t’as de la pluie qui coule sur ta vitre et que t’es peinard sur ton canapé, vazy, fais péter cet album.
Si on début on apprécie l’autotune placé sur des prods simplistes, rapidement ça s’essouffle jusqu’à se vider totalement d’intérêt.
C’est à dire qu’en fait tu te demandes où ils veulent en venir les cocos… Pendant 45 minutes de beats binaires et assomants, une voix crie. Voila. En gros.
Le hiphop branlette (ou hipsthop) a enfin un nom.
Et toi t'en penses quoi ?