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Dernière plage d’insouciance avant la reprise, Rock en Seine propose une fois de plus une programmation alléchante. Et comme chaque année, Le Transistor se débrouille pour te faire gagner un pass. Notre mécène, la bière aromatisée vodka et agrumes Sköll qui va nous aider à nous rafraîchir pendant le festival, t’offre un pass pour le vendredi ! C’est-à-dire pour voir Royal Republic, Birdy Nam Nam, Breakbot, Two Door Cinema Club… mais surtout le torride duo The Last Shadow Puppets !
Les concerts vont par deux : quand un groupe passe sur la Grande scène, l’autre est sur la scène de l’Industrie, quand un groupe est sur la Cascade, l’autre est à Pression Live. Le Transistor t’aide à faire un choix. Pour le jeu concours, scroll jusqu’à la fin de l’article.
Le festival commence tranquillement sur la Grande scène par un rock touareg envoûtant, Bombino, pendant qu’un clone d’Elvis se la donne sous le nom de Theo Lawrence (vu au Printemps de Bourges), puis on enchaîne avec le rap aiguisé de Logic à la Cascade, face aux accrocheurs canadiens The Strumbellas. Sur la Grande scène, Caravan Palace (lire l’interview) élime son electro-swing, pendant que Adrien Soleiman (vu à la Gaîté Lyrique) tente de faire chavirer les cœurs nostalgiques. La curiosité nous mènera jusqu’à la scène Pression Live pour le punk de Slaves face au hip-hop à la Dr Dre de Anderson .Paak. Ensuite, pas la peine de perdre son temps avec Bastille sur la Grande scène, mais on court voir The Brian Jonestown Massacre (lire l’interview) – ne serait-ce que pour monsieur Tambourin (alias Joel Gion).
Il est bientôt 20h, on peut soutenir une minorité en allant voir se démener Jack Garratt (il est roux le pauvre), mais mieux, Junior Gong, aka Damian Marley vient propager le message de son père à sa sauce sur la scène de la Cascade. Pendant que les Two Door Cinema Club (lire l’interview) dégurgitent leurs tubes, on peut aller voir les vétérans du stoner, Clutch, sur la scène de l’Industrie. Ensuite au choix : le pop-punk de Royal Republic (lire l’interview), ou les plus fracassant Birdy Nam Nam. Et pour finir, si les mimiques de The Last Shadow Puppet vous laissent froid, vous pourrez profiter de la grave poésie de Flavien Berger ou danser grâce à Breakbot.
Sur la scène Ile-de-France, la sombre pop de Einleit (lire l’interview), le post-punk de Rendez-Vous, ou au contraire Djeuhdjoah et Lieutenant Nicholson qui vont « faire péter les rayons »,.
Aujourd’hui pas d’excuse pour ne pas arriver dès l’ouverture. On pourrait se laisser tenter par le rock de Beach Slang qui enfonce des portes ouvertes, mais c’est le garage des Rennais de Kaviar Special qui l’emporte à la Scène de l’industrie. A regret, on délaisse le hip hop de The Underachievers, pour aller se régaler des prods des Italiens JoyCut à la scène Pression Live. Combat déloyal : les grosses guitares de Wolfmother sur la Grande scène vont dégommer les fragiles compositions de O. A la scène Pression Live, Kitsuné présente Beau, pendant que Casseurs Flowters vont faire leurs gamins. Fan de double pédale ? Bring Me The Horizon est sur la Grande Scène, au moins ça distrait comparés aux élégants Grand Blanc (vus au Printemps de Bourges) qui se noient dans leur coldwave.
Il est bientôt 20h, certes on meurt d’envie de sautiller à la Cascade sur La Femme (lire l’interview), mais Papooz, c’est tellement frais ! En 2011, beaucoup étaient revenus transformés de la perfomance d’Edward Sharpe & the Magnetic Zeros, mais sincèrement c’est pas tous les jours que les grunge féministes L7 viennent en France, si ? Ensuite, on peut se laisser emporter par la vague de The Temper Trap (vus à Rock en Seine), sauf que le chant de Sigur Ros (vus à Rock en Seine) nous attire à la manière d’une sirène ! Dernier concert de la soirée, dernier choix : le trip-hop à tendance soporifique de Massive Attack, la pop folk répétitive de Half Moon Run (vus au Trianon) ou l’instoppable trio des Naive New Beaters (lire l’interview) qui va vous faire rire, aimer et danser ? C’est toi qui vois !
Sur la scène Ile-de-France, la pop quotidienne de Tim Dup, le rap adolescent de Nuski & Vaati, et les fumés au seventies The Psychotic Monks.
Il est bientôt 20h, la programmation commence à s’intensifier pour le bouquet final. Si tu ne l’as encore jamais vu, il est inconcevable que tu loupes Iggy Pop (vu au Casino de Paris) sur la Grande scène, d’autant que Chvrches (lire l’interview) est déjà passé par Rock en Seine, et que l’intensité de la jeune norvégienne Aurora fait un peu flipper. On se défoule ensuite sur Cassius, quoi ? Cassius est de retour ? ‘I Love You So‘ ! Avec en feat, Cat Power et Mike D des Beastie Boys, rien que ça ! Enfin, tu peux aller t’éclater devant la scéno inventive de Peaches (vue à la Cigale), ou aller te défouler sur Soulwax… Quoi ? Soulwax aussi est de retour ?! Enorme ! Si t’as le courage, va jeter un dernier coup d’œil à la Grande scène pour le final de Foals (vus aux Eurocks), et c’est bon, tu peux rentrer comblé !
Sur la scène Ile-de-France, le rap aux prods electro ou soul de JP Manova et le reggae-folk de Tiwayo, qui fera difficilement le poids face aux éclateurs d’amplis de Pogo Car Crash Control.
Pour gagner ton pass pour le vendredi à Rock en Seine 2016, poste une vidéo d’un des groupes de la journée !
La manip est simple :
1 Se créer un compte sur Facebook – comment ça c’est déjà fait ?
2 Devenir fan du Transistor – donc ça aussi c’est réglé !
3 Poster sur le wall du Transistor une vidéo de la programmation du vendredi !
Le concours se finit le mercredi 24 août à 23h59 !
NB : ça aide toujours de mentionner le festival et les flood seront pénalisés !
J’en pense que la prog est encore pas mal du tout cette année quoi qu’on en dise !
Vive le Wok’n rollllll
Et toi t'en penses quoi ?